© Julie Gambin
Depuis une dizaine d'années, la gestion différenciée fait beaucoup parler d'elle. Plus qu'un phénomène de mode, elle amène les collectivités à s'interroger sur leurs méthodes d'entretien, voire carrément revoir la nomenclature de leurs espaces verts, permettant de laisser davantage de place à la nature dans la ville et sa périphérie. Faisons un point de situation des pratiques actuelles.
Ma Gazette
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Plébiscitée par certains et décriée par d’autres, la gestion différenciée des espaces naturels fait partie d’un langage commun. Lorsqu’on s’attarde sur les vraies raisons de l’arrivée de ces pratiques, on s’aperçoit qu’elles ne sont pas vraiment comprises des acteurs. Le poids des habitudes amène des résistances et nombreux sont ceux qui y voient une simple mode. Pourtant, elle modifie profondément le rapport à la nature et le métier de jardinier.
Facteurs à l’origine d’un changement de pratiques
L’une des strates végétales les plus chronophages en matière d’entretien est bien la strate herbacée ...