La déception est grande dans les rangs de la gauche, d’autant que les modifications apportées par le Sénat venaient combler ce que Catherine Lemorton, vice-présidente de la commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale (groupe socialiste), qualifiait de «lacunes» lors du vote du texte en première lecture le 4 octobre. Et si Xavier Bertrand proclamait alors qu’il y «aura un avant et un après Mediator», l’annonce, selon certains observateurs, risque d’en rester là.
Le texte voté par l’Assemblée n’est pourtant pas vide et apporte des améliorations certaines, parmi lesquelles la déclaration publique d’intérêts (DPI) systématique, la ...
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