Gerhard Seybert
La multiplication des projets de valorisation de bois forestiers et de cultures énergétiques va contraindre l’Europe, la France, mais aussi chaque territoire, à faire des choix. Une obligation rappelée par une étude publiée mardi 29 juin. Et qui sera au programme de la troisième programmation pluriannuelle de l’énergie.
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Bois de construction, chauffage, biogaz, carburant… Les idées ne manquent pas pour valoriser chaque milligramme de biomasse végétale. Jusqu’à l’excès ? C’est en tout cas ce que suggère un rapport publié mardi 29 juin par le cabinet de conseil Material Economics. La critique n’est pas nouvelle. Rares sont les grands projets de méthanisation ou de scieries qui ne sont pas pointés du doigt au nom de leur impact sur la ressource forestière ou sur des terres qui pourraient perdre leur vocation agricole si l’on multiplie les cultures énergétiques. Tantôt le propos est justifié. Tantôt, il reflète une certaine forme de conservatisme et de ...
je ne suis pas abonné car malheureusement les articles m’intéressant vraiment sont fort peu nombreux. Celui là commence fort bien, et j’ai beaucoup de choses à dire sue ce sujet et je n’hésite pas à dire que la politique énergétique actuelle est totalement contre-productive et conduit à mettre une pression énorme sur le filière du fait de la partie bois-energie incontrôlable. Elle devrait être carrément limitée aux applications domestiques, point à la ligne. Par contre les déchets de bois, oui, bien sûr mais sous le meilleur rendement possible et sûrement pas donc par simple production de chaleur Imaginer ce qu’on peut faire avec de l’electricité un un COP de 5 accessible ! Enfin, Cordemais ne sera pas converti à la biomasse, c’est une tres bonne nouvelle. Tout le monde s’est cassé la gueule la dessus et nous on insiste avec des pellets qui ont déja du mal à se vendre sur le marché domestique ! Ridicule !