« Si demain il n’y a plus de conseil général, qui va s’occuper de l’action sociale ? Quid de la fraternité ? » La question taraude des élus de droite et du centre, ce 11 septembre, au sous-sol du Sénat. Ils sont des dizaines à avoir quitté leurs cantons pour ce colloque sur « le département, avenir de la République » (1). Et cette angoissante question leur est posée dès la première table ronde, consacrée à leur rôle de « bouclier social ».
Dans les autres collectivités, « personne ne se précipite pour reprendre nos compétences », plaide le président du conseil général et sénateur des Ardennes, Benoît Huré… L’heure est grave pour les départements. Les territoires légués ...
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