Déjà inscrit(e) ?

Mot de passe oublié ?

Identifiant et/ou mot de passe non valides

Nous n’avons pas reconnu votre email, veuillez indiquer un email valide, utilisé lors de la création de votre compte.

Un message avec vos codes d'accès vous a été envoyé par mail.

Pas encore inscrit(e) ?

Inscrivez-vous pour accéder aux services de LaGazette.fr et à la gestion de vos Newsletters et Alertes.

M'inscrire gratuitement
Club Santé Social

Déjà inscrit(e) ?

Mot de passe oublié ?

Identifiant et/ou mot de passe non valides

Nous n’avons pas reconnu votre email, veuillez indiquer un email valide, utilisé lors de la création de votre compte.

Un message avec vos codes d'accès vous a été envoyé par mail.

Pas encore inscrit(e) ?

Inscrivez-vous pour accéder aux services de LaGazette.fr et à la gestion de vos Newsletters et Alertes.

M'inscrire gratuitement

icon Club Santé Social

Social

Le CCAS de Reims revoit ses critères d’attribution pour résorber son déficit

Publié le 25/07/2014 • Par Frédéric Marais • dans : Actu Santé Social

Le conseil d’administration du centre communal d’action sociale a décidé en juin 2014 d’intégrer de nouvelles sources de revenus au calcul permettant de sélectionner les bénéficiaires de l’aide sociale facultative.

Ma Gazette

Sélectionnez ce thème et créez votre newsletter personnalisée

L’allocation de rentrée scolaire, la prime de Noël et certaines bourses comme les bourses universitaires : voilà quelles sont les aides ajoutées par le CCAS de Reims au « reste pour vivre » qui sert de base de calcul à l’attribution de ses aides facultatives. « Cette mesure ne figurait pas dans notre programme électoral, confesse Franck Noël, l’adjoint au maire en charge de la solidarité et des affaires sociales. Mais nous avons découvert en avril, après notre élection, que le CCAS afficherait un déficit d’un million d’euros en 2014 pour 8 millions d’euros de budget. Bref, il y a le feu à la maison. »

De 3 200 à 6 100 familles en 5 ans

« Entre 2008 et 2013, le nombre de bénéficiaires a bondi de 3 200 à 6 100 familles, précise Franck Noël, et le montant des aides versées est passé de 1,4 à 2,6 millions d’euros. Il a fallu aussi embaucher du personnel pour faire face à cette augmentation. »

Le « reste pour vivre » a été instauré en 2009 par la précédente équipe. Il consiste à déduire toutes les dépenses liées au logement (loyer, charges, eau, assurance…) pour calculer les ressources mensuelles d’un ménage. Un dispositif qui se voit donc complété par de nouveaux critères de revenus, avec notamment la fin de la déduction des dettes liées à un plan d’apurement.

Le « reste pour vivre » (400 euros pour une personne seule, 600 pour euros pour deux) est d’autant moins remis en cause dans son principe qu’il servira désormais à déterminer si les personnes de plus 65 ans pourront bénéficier de la gratuité des transports en commun. « Auparavant, il suffisait qu’elles soient non imposables », rappelle le maire adjoint.

Conséquence de ce train de mesures, « il y aura 10 % de familles bénéficiaires en moins », estime Franck Noël. Conscient de leur impopularité, l’élu espère du moins qu’elles permettront au CCAS de recouvrer une meilleure santé financière. La ville votera une subvention d’équilibre de 450 000 euros pour l’aider à atteindre cet objectif.

Thèmes abordés

shadow
2 Réagir à cet article

Nos offres d'emploi

Plus de 1000 offres d'emploi !

TOUTES LES OFFRES D'EMPLOI
marche online

Aujourd'hui sur le Club Santé Social

Nos services

Prépa concours

CAP

Évènements

Gazette

Formations

Gazette

Commentaires

Le CCAS de Reims revoit ses critères d’attribution pour résorber son déficit

Votre e-mail ne sera pas publié

luc

28/07/2014 02h11

Voilà bien le résultat du changement suite au dernière élection

mimi

13/02/2019 11h22

je trouve cela honteux!!! Le reste à vivre est complètement faussé puisque on retire, en quelque sorte, la rentrée scolaire qui, comme son nom l’indique, est prévue pour la scolarité de nos enfants. Et, par dessus le marché, aujourd’hui on prend en compte la bourse étudiant sans prendre en compte les dépenses liées aux études ( logement, transport ect..) On sait bien combien cela coûte les études et cela sert aux études et non aux frais de la famille. C’est complètement dégueulasse. Le déficit peut être trouvé autrement sans en faire pâtir les plus démunis et, encore faire en sorte que les enfants avec des capacités ne puisse même plus étudier faute de moyens. J’ai voté pour Mr Robinet mais ce ne sera plus le cas aux prochaines élections

Commenter

Les informations à caractère personnel recueillies font l’objet d’un traitement par La Gazette des Communes du Groupe Moniteur S.A.S, RCS Créteil 403 080 823. Elles sont uniquement nécessaires à la gestion de votre commentaire à cet article et sont enregistrées dans nos fichiers. Pour exercer vos droits, vous y opposer ou pour en savoir plus : Charte des données personnelles.

Club Santé Social

Déjà inscrit(e) ?

Mot de passe oublié ?

Identifiant et/ou mot de passe non valides

Nous n’avons pas reconnu votre email, veuillez indiquer un email valide, utilisé lors de la création de votre compte.

Un message avec vos codes d'accès vous a été envoyé par mail.

Pas encore inscrit(e) ?

Inscrivez-vous pour accéder aux services de LaGazette.fr et à la gestion de vos Newsletters et Alertes.

M'inscrire gratuitement