« Quand un étudiant dispose d’un reste à vivre inférieur à 7 euros par jour, soit le prix de deux repas au restaurant universitaire, nous considérons qu’il ne peut pas se nourrir correctement », explique Claire Simonin, étudiante en pharmacie et vice-présidente du Groupement des associations et des élus étudiants de Lyon indépendants et solidaires (Gaelis). Aussi l’association a-t-elle créé, en octobre 2011, la première épicerie sociale étudiante sur le campus universitaire de la Doua, à Villeurbanne.
Du temps pour apprendre
Ouverte sous conditions de ressources, celle-ci donne la possibilité aux étudiants d’acheter chaque mois un panier de produits courants ...
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