Stéphane Troussel serre le poing. Au sortir du conseil d’administration du Comité d’Organisation des Jeux olympiques et paralympiques (COJO) du 30 septembre dernier, le président PS du Conseil départemental de Seine-Saint-Denis (En photo) évoquait une « victoire à l’arrachée ». Les semaines précédentes, par journaux interposés, il avait multiplié les mises en garde, par crainte d’une dilapidation des promesses en matière d’héritage séquano-dionysien.
Sur fond de crise sanitaire et de perspectives à la baisse des recettes de sponsoring, le COJO doit en effet dégager des économies, dans l’espoir de ne pas dépasser son budget initial de 3,8 milliards d’euros. Il a donc revu la carte des sites olympiques. Résultat : pour s’épargner la construction de tribunes, deux sites temporaires ont quitté ...
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