GREFFE David / AURG)
Au 1er janvier 2021, un nouvel indice de la qualité de l’air remplacera l’actuel indice Atmo. Plus représentatif de la pollution de fonds et calculé sur tout le territoire, cet outil de communication grand public aura en revanche un effet pervers. Il augmentera « mécaniquement » le nombre de jours ayant un indice « mauvais » ou pire dans les grandes villes. Avec pour les collectivités, un fort enjeu de bien faire passer le message aux habitants.
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Issue de deux ans de travail entre Atmo France, la fédération des Aasqa (associations agréées de surveillance de la qualité de l’air), et le ministère de la Transition écologique, la révision de l’indice de qualité de l’air a été actée par un avis du conseil national de l’air du 11 septembre 2019. Un arrêté du 29 juillet 2020 officialise sa mise en œuvre à partir de 2021, abrogeant un arrêté de 2004 qui définissait jusqu’à aujourd’hui son mode de calcul.
Cette évolution réglementaire lèvera plusieurs limites. Le nouvel indice sera calculé sur tout le territoire, à ...
