Dans le PNR du Pilat, des hangars permettent de stocker les plaquettes pour qu’elles sèchent et puissent être utilisées par les chaufferies bois.
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Les réseaux de chaleur sont actuellement confrontés à plusieurs difficultés, en raison de la crise sanitaire. Les nouveaux projets ont du mal à se monter, dans un contexte de forte baisse du prix du gaz et du fait aussi du blocage des nouveaux exécutifs locaux. Et pour le prochain hiver, il existe un risque de manquer de bois pour alimenter les chaufferies.
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« On a un secteur en difficulté : c’est la chaleur renouvelable », a déclaré la ministre de la Transition écologique et solidaire, Elisabeth Borne, devant les députés le 30 avril dernier, reconnaissant qu’il fallait « trouver des mécanismes de soutien complémentaires ».
Ces réseaux de chauffage portés par les collectivités doivent faire face à un « double impact », comme nous l’explique Guillaume Perrin, chef adjoint du département énergie à la FNCCR. Tout d’abord l’effet de la chute des prix du gaz (tombé à environ 4 à 6 centimes d’euros du kWh, soit environ ...
