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Le coup de frein sur les transports, lié au confinement, met en évidence d’autres sources de pollution de l’air, en particulier les épandages agricoles. Une tribune de médecins demande aux autorités de les limiter. Cette pollution de l’air en particules fines contribuerait en effet à la propagation du coronavirus.
Ma Gazette
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C’est une des surprises de cette période de confinement. Malgré le coup de frein sur le transport routier et l’activité industrielle, la qualité de l’air ne s’améliore pas partout. Pire, des pics de pollution aux particules fines (PM 2,5) ont été enregistrés par les capteurs d’Atmo France, lors des épisodes anticycloniques (absence de vent + ensoleillement). En cause, le chauffage au bois et surtout les épandages d’engrais agricoles. « Selon les régions, on enregistre une augmentation du nitrate d’ammonium et d’ammoniac liée aux activités agricoles, et notamment aux épandages agricoles », souligne Atmo ...