D.R.
Pendant deux mois, une vingtaine de microcapteurs installés sur les toits des bus de l’agglomération grenobloise vont mesurer les particules présentes dans l’air, et compléter les données d’une unique station de mesure, fixe.
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C’est reparti : depuis le 23 janvier et pendant deux mois, des capteurs mobiles, installés sur les toits d’une vingtaine de bus, vont mesurer la qualité de l’air de l’agglomération grenobloise. « Cette expérimentation, GreenZenTag II, vise à lever les limites de la première expérimentation, GreenZenTag I, menée en 2017 », cadre Yann Mongaburu, président du syndicat mixte des transports en commun (SMTC) de l’agglomération grenobloise. Elle est pilotée par le Laboratoire d’expérimentation des mobilités de l’agglomération grenobloise, le Lemon.
La période hivernale a été choisie car c’est celle ...
