Au niveau 1 d’une chaîne d’acteurs embrigadés – mais le mot de brigade a disparu –pour remonter les chaînes de contamination, contacter les personnes et les mettre sous protection, les médecins généralistes ou autres, qui portent un diagnostic par PCR ou IRM. Ils sont chargés de signaler ces patients et leurs cas contacts par téléservice.
Au niveau 2, l’assurance-maladie appelle ces cas contacts, les invite à se faire tester, à respecter une quatorzaine, à porter un masque. « C’est un engagement fort de l’assurance-maladie », souligne Nicolas Revel, qui devrait « mobiliser 6 500 collaborateurs pour assurer une plateforme de 4 500 personnes présentes chaque jour, sept jours sur sept, de 8 heures à 19 heures ».
Au niveau 3, les agences régionales de santé (ARS) gèrent les cas complexes et ...
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