Par Rina Dupriet, administrateur territorial hors classe, maire adjoint, présidente honoraire de l’Actas (ex-Anccas)
Ces rapports comme ceux des autres associations caritatives n’avaient d’autre but que de décrire et d’observer le malaise social français afin de faire réagir ceux qui étaient en charge des affaires de trouver des solutions pour réduire une pauvreté devenue permanente. Lorsqu’en novembre 2019, le Secours catholique présente son rapport social des actions qu’il a menées en 2018, les résultats sont pourtant déjà bien inquiétants ! Parmi les personnes qu’il accueille, 30 % d’entre elles, contre 20 % en 2010 n’ont pas de places en hébergement, ce qui les contraint à vivre dans la rue parfois seul ou avec leur famille au côté des demandeurs d’asile dont le nombre va ...
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