Le 16 janvier, la ministre des Solidarités et de la Santé a même réussi l’exploit de présenter une stratégie de prévention de la perte d’autonomie sans citer une seule fois l’aide à domicile.
Un tel manque de considération envers notre secteur et les concertations de façade ne peuvent plus durer. Les salariés et les structures associatives sont à bout de souffle. Les salariés, pour lesquels il faut dix-huit ans d’ancienneté avant d’être rémunérés au-dessus du Smic.
Le secteur non lucratif, qui ne parvient pas à honorer une demande d’accompagnement sur dix, faute de personnel. De sorte que, avant même le pic de vieillissement de 2025-2030, la France compte déjà des déserts de l’accompagnement à la perte d’autonomie.
Le Gouvernement doit absolument passer aux actes. Cela se traduit par une loi ...
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