«Un certain nombre de mes études m’ont permis de conclure que la surveillance d’un patient atteint d’un cancer du poumon et de ses symptômes pouvait apporter davantage d’informations pertinentes sur l’évolution de sa maladie, que la surveillance de la tumeur elle-même », explique le Dr Denis (1). Aussi, a-t-il élaboré une application, Moovcare, et étudie depuis 2012 l’impact d’un suivi rapproché avec le reporting des symptômes des patients concernés.
Des alertes en cas de problème
Lorsqu’un patient en cours de traitement ou qui vient de le terminer, accepte d’être suivi via l’application, le cancérologue lui prescrit son usage. Il reçoit, tous les lundis, un lien par email qui lui donne accès à un questionnaire. Il le remplit, avec précision, et les informations sont envoyées sur un serveur ...
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