Michel Djaoui
L'association nationale pour la protection du ciel et de l'environnement nocturne vient de publier son bilan concernant la réglementation qui encadre le fonctionnement des éclairages des bâtiments non résidentiel. Si quelques villes ont progressé, d'autres restent à la traîne.
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Depuis le 1er juillet 2013, un arrêté encadre le fonctionnement des éclairages des bâtiments non résidentiels afin de limiter les nuisances lumineuses et le gaspillage d’énergie. Quatre ans après, l’association nationale pour la protection du ciel et de l’environnement nocturne (ANPCEN), vient de sortir son troisième bilan. Verdict : si des progrès notables ont été observés dans la mise en oeuvre de la réglementation, tout n’est pas encore réglé. "Il reste des statu quo difficilement compréhensibles. La situation est contrastée, tant entre les villes qu’au sein d’une même ville", note l’ANPCEN.