Cinq ans après votre congrès de Pau, vous remettez en avant la question du territoire de l’action sociale. Pourquoi ce choix ?
Notre conviction est que nous sommes à l’aube d’une réorganisation qui ne fait que commencer. Deux ans après la loi Notre, on voit de nouveaux équilibres se dessiner. L’intercommunalité monte en puissance et, notamment dans les métropoles, vient challenger les politiques départementales. Cela suscite chez certains des inquiétudes légitimes car il va falloir redéfinir la place des communes et des départements dans ce nouveau contexte.
À l’ANCCAS, nous avons toujours défendu l’intercommunalité sociale, nous n’allons pas faire machine arrière. Nous ne sommes absolument pas dans une logique défensive d’intérêts catégoriels. Ce n’est d’ailleurs pas le sujet et les ...
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