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Fin de vie

Le Cese plaide pour une aide à mourir

Publié le 12/04/2018 • Par Christelle Destombes • dans : A la Une santé social, Dossier Santé Social

seringue rose euthanie
©MargaretClavell - stock.adobe.com
Le Conseil économique, social et environnemental a adopté le 10 avril l’avis "Fin de vie : la France à l’heure des choix", appelant à légaliser la "sédation profonde explicitement létale". Un avis qui part d’un constat d’échec. Malgré les différentes mesures et notamment les dispositions de la loi sur la fin de vie (Claeys-Léonetti) du 2 février 2016, 85 % des Français pensent que leur volonté de mourir à domicile n’est pas respectée, selon un sondage Ifop. Une nouvelle loi en perspective ?

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Alors que les États généraux de la bioéthique consultent notamment sur cette question pour un projet de loi à l’automne, qu’une proposition de loi a été déposée à l’Assemblée nationale, le Cese par 107 voix pour, 18 contre et 44 absentions franchit le pas, et propose « d’élargir le champ des possibles » en créant un droit nouveau, celui de « pouvoir demander au.à la médecin de recevoir, dans des conditions strictement définies, une médication expressément létale ».

Entre 2 000 et 4 000 euthanasies illégales

Ce droit devra être strictement encadré de conditions (patient majeur, dont « la souffrance physique ou psychique inapaisable » devra être constatée, résultant d’une affection incurable, en phase avancée voire terminale), et d’un dispositif de contrôle a posteriori.

Une « clause ...

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