Arfeuilles, son calvaire, sa madone, ses 700 habitants… et son désert médical, depuis que le dernier médecin généraliste est parti de ce village de l’Allier, en 2008. « Il avait pourtant une patientèle de 2 500 personnes. Et il nous reste une pharmacie, vante le maire, Jacques Terracol. Depuis, nous avons recherché jusqu’au Portugal un candidat pour reprendre son cabinet refait à neuf, avec appartement et local infirmier. » Sans succès. Un médecin français s’est bien présenté, suivi par une consoeur roumaine ; chacun est finalement parti, après plusieurs mois, sans même payer les loyers. De guerre lasse, Jacques Terracol s’en est remis à un cabinet de recrutement, au ...
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