Déjà inscrit(e) ?

Mot de passe oublié ?

Identifiant et/ou mot de passe non valides

Nous n’avons pas reconnu votre email, veuillez indiquer un email valide, utilisé lors de la création de votre compte.

Un message avec vos codes d'accès vous a été envoyé par mail.

Pas encore inscrit(e) ?

Inscrivez-vous pour accéder aux services de LaGazette.fr et à la gestion de vos Newsletters et Alertes.

M'inscrire gratuitement
Club Santé Social

Déjà inscrit(e) ?

Mot de passe oublié ?

Identifiant et/ou mot de passe non valides

Nous n’avons pas reconnu votre email, veuillez indiquer un email valide, utilisé lors de la création de votre compte.

Un message avec vos codes d'accès vous a été envoyé par mail.

Pas encore inscrit(e) ?

Inscrivez-vous pour accéder aux services de LaGazette.fr et à la gestion de vos Newsletters et Alertes.

M'inscrire gratuitement

icon Club Santé Social

Développement durable

Les déchets à risques infectieux peuvent devenir de simples ordures ménagères

Publié le 23/05/2017 • Par Olivier Descamps • dans : A la Une santé social, Dossier Santé Social

déchets à risques infectieux-DASRI-UNE
WEERAWAT CHURELEE Alejndros_mark_iii@hotmail.com
Le centre hospitalier de Beauvais va banaliser ses déchets infectieux in situ qui pourront ensuite être considérés comme de simples ordures ménagères. Très rentable, l’opération demande des ajustements organisationnels.

La fin du tout jetable n’épargne pas le monde de la santé… Avec certaines limites inhérentes à l’activité. Valoriser les restes de repas des patients, des piles ou des matelas en fin de vie est une chose, donner une seconde vie à des médicaments usagés ou à des seringues s’annonce plus délicat.

Banaliseur

Techniquement comme réglementairement pourtant, tous les voyants sont au vert pour faire des déchets d’activités de soins à risques infectieux (Dasri) des déchets comme les autres.

« L’enjeu est environnemental. Il est aussi financier », lance Sandrine Bricaud, directrice des affaires économiques et logistiques du centre hospitalier de Beauvais (Oise) (1).

L’établissement dépense aujourd’hui 143 000 euros HT par an pour son gisement, dont 81 000 euros pour leur seul traitement puisque les ...

[80% reste à lire]

Article réservé aux abonnés

Club Santé Social

Mot de passe oublié

VOUS N'êTES PAS ABONNé ?

Testez notre Offre Découverte Club Santé Social pendant 15 jours

J’en profite
shadow
Réagir à cet article

Nos offres d'emploi

Plus de 1000 offres d'emploi !

TOUTES LES OFFRES D'EMPLOI
marche online

Aujourd'hui sur le Club Santé Social

Nos services

Prépa concours

CAP

Évènements

Gazette

Formations

Gazette

Commentaires

Les déchets à risques infectieux peuvent devenir de simples ordures ménagères

Votre e-mail ne sera pas publié

Les informations à caractère personnel recueillies font l’objet d’un traitement par La Gazette des Communes du Groupe Moniteur S.A.S, RCS Créteil 403 080 823. Elles sont uniquement nécessaires à la gestion de votre commentaire à cet article et sont enregistrées dans nos fichiers. Pour exercer vos droits, vous y opposer ou pour en savoir plus : Charte des données personnelles.

Club Santé Social

Déjà inscrit(e) ?

Mot de passe oublié ?

Identifiant et/ou mot de passe non valides

Nous n’avons pas reconnu votre email, veuillez indiquer un email valide, utilisé lors de la création de votre compte.

Un message avec vos codes d'accès vous a été envoyé par mail.

Pas encore inscrit(e) ?

Inscrivez-vous pour accéder aux services de LaGazette.fr et à la gestion de vos Newsletters et Alertes.

M'inscrire gratuitement