La fin du tout jetable n’épargne pas le monde de la santé… Avec certaines limites inhérentes à l’activité. Valoriser les restes de repas des patients, des piles ou des matelas en fin de vie est une chose, donner une seconde vie à des médicaments usagés ou à des seringues s’annonce plus délicat.
Banaliseur
Techniquement comme réglementairement pourtant, tous les voyants sont au vert pour faire des déchets d’activités de soins à risques infectieux (Dasri) des déchets comme les autres.
« L’enjeu est environnemental. Il est aussi financier », lance Sandrine Bricaud, directrice des affaires économiques et logistiques du centre hospitalier de Beauvais (Oise) (1).
L’établissement dépense aujourd’hui 143 000 euros HT par an pour son gisement, dont 81 000 euros pour leur seul traitement puisque les ...
[80% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Club Santé Social
VOUS N'êTES PAS ABONNé ?
Testez notre Offre Découverte Club Santé Social pendant 15 jours
J’en profite