C’est à l’occasion d’une présentation des actions menées par Médecins sans frontière (MSF), à la fin des années 80, que Bonnie Tickridge attrape « le virus de l’humanitaire ». Une chance pour cette étudiante qui ne se voyait pas faire carrière dans un centre hospitalier. En 1990, son diplôme d’infirmière en poche, Bonnie Tickridge enchaîne avec une formation de médecine tropicale. « Pour postuler auprès d’une organisation non gouvernementale (ONG), un diplôme et une expérience étaient obligatoires. Alors, j’ai travaillé la nuit et étudié le jour » se souvient-elle.
La perspective de partir en mission l’aide à tenir le rythme pendant trois ans. Chirurgie, ...
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