Depuis le début du travail du CGLPL sur ces structures en 2008, pas moins de 19 enquêtes ont été lancées après la réception de 80 plaintes émanant de patients ou de psychiatres. Ces enquêtes ont abouti à l’émission de cinq alertes auprès du ministère de la Santé. Toutes sont restées lettres mortes. Transmis le 17 janvier au ministère de la Santé, l’avis du CGLPL n’a pas eu plus de succès 20 jours plus tard.
Au coeur des plaintes, le maintien anormalement long des patients après l’accord de sortie émis par le comité de suivi médical alors que la Cour européenne des droits de l’homme a jugé que le droit fondamental selon lequel nul ne peut être ...
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