« Les responsables politiques commencent à prendre conscience des problèmes posés par le vieillissement des gens du voyage, mais cela reste très théorique. Dans les schémas d’accueil que les conseils généraux révisent actuellement, les actions sont rares », souligne Marc Depriester, cogérant de la coopérative-conseil Aures.
En effet, la problématique reste difficile à saisir. « Les études épistémologiques sur la santé des gens du voyage sont peu nombreuses et anciennes. Cette population intéresse peu nos universitaires et nos médecins », constate, à Toulouse, le docteur Jean-Claude Guiraud, vice-président de la Fédération nationale des associations solidaires d’action avec les ...
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