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La thématique de la propreté urbaine constituait, pour bon nombre de territoires, communes et communautés, un enjeu fort pour la population. De plus en plus de collectivités s’inscrivent dans des démarches « qualité » pour améliorer la gestion de leur espace public et les résultats de leurs politiques de propreté urbaine tout en tenant compte des contraintes budgétaires.
Ma Gazette
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Auparavant, le terme de propreté urbaine recouvrait la collecte des déchets (ordures ménagères, tri sélectif, encombrants, déchets verts…) mais également le nettoiement (balayage manuel, balayage mécanique, lavage, enlèvement des tags…).
Aujourd’hui, les réflexions engagées en matière de qualité ne se limitent plus seulement à la propreté. Elles sont nécessairement plus larges et concernent tout l’espace public, de sa conception à la gestion ultérieure de ces lieux. En effet, une collectivité ne peut avoir une gestion globale efficace de sa propreté et des opérations de nettoiement que si les aménagements urbains sont conçus pour résister aux différents usages de la rue. Dans ce cadre, les mobiliers urbains doivent être judicieusement pensés et localisés, et les ...
