La réforme du système de santé, entrée en vigueur le 1er avril 2015, a enclenché un processus de fusion administrative inédit au Québec. Une sorte de big bang à l’envers pour regrouper et centraliser l’ensemble des entités.
Dans chaque région, un seul établissement public réunit les hôpitaux, les services sociaux, les centres d’hébergement et de soins de longue durée, les établissements dédiés au handicap, etc., y compris l’agence qui assurait la gouvernance régionale, l’attribution et le contrôle des fonds. Seule exception, Montréal, où cinq centres se répartissent les activités. Ainsi, sont nés vingt-deux centres intégrés de santé et de services sociaux (CISS). Leur ...
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