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Principalement enfouies, les cendres produites par les chaufferies représentent 1 à 4 % du gisement de bois entrant. Les pistes de valorisation existent. La logique d’économie circulaire milite en particulier pour le retour au sol en forêt.
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Riches en calcium, en magnésium, en potassium, les cendres de cheminées terminent souvent leur course épandues dans un jardin. Dans les chaufferies, ces déchets solides de la combustion prennent le plus souvent la direction d’un centre d’enfouissement technique (CET). Pourtant, « des analyses montrent qu’un tiers du gisement pourrait répondre aux exigences des normes d’engrais », souligne Caroline Rantien, animatrice biomasse à l’Ademe. Même si les cendres contiennent peu d’azote (car le bois des forêts n’est pas fertilisé), leur valorisation agronomique s’impose donc comme une évidence.
Une matière hétérogène – Dans un esprit d’économie circulaire et pour prévenir les augmentations de TGAP, les porteurs de projets ont toute légitimité à imposer des alternatives à ...