Alors que les infections sexuellement transmissibles (IST) sont en hausse et que l’incidence du virus de l’immunodéficience humaine (VIH – ou HIV en anglais –) ne baisse plus, les acteurs de terrain – relayés par différents rapports – plébiscitent depuis quelques années l’évolution du modèle de prévention et de dépistage français. Actuellement, le territoire est doté de centres de dépistage anonyme et gratuit (CDAG) et de centres d’information, de dépistage et de diagnostic des infections sexuellement transmissibles (CIDDIST) dont les missions sont en partie redondantes : accueil, information, conseil autour du VIH, les CIDDIST ayant parallèlement un rôle ...
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J’en profiteRéférences
- Janvier 2011 : rapport Igas sur l’évaluation de la mise en œuvre de la recentralisation de la lutte contre les IST.
- Article 47 de la loi de financement de la Sécurité sociale 2015.
- Décret n° 2015-796 du 1er juillet 2015 relatif aux centres gratuits d’information, de dépistage et de diagnostic des infections par les virus de l’immunodéficience humaine et des hépatites virales et des infections sexuellement transmissibles.
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