Fin 2009, tandis que conseils généraux et CCAS s’étonnaient de la lenteur de la montée en charge du RSA, Martin Hirsch, le Haut commissaire aux solidarités actives défendait la mise en œuvre du dispositif. Il en appelait au temps nécessaire pour convaincre, ou plus simplement pour permettre au dispositif d’être connu de ses potentiels bénéficiaires. Un constat que dressaient déjà les responsables en charge du RSA dans les conseils généraux et les CCAS.
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