Au lendemain du remaniement ministériel, plusieurs associations (dont Asud, Anitea, Act Up-Paris, SOS hépatites Paris) interrogent : «La France va-t-elle enfin sauter le pas et ouvrir des salles de consommation à moindre risque ?» La question vient rappeler le clivage gouvernemental entre Roselyne Bachelot, annonçant en juillet «vouloir engager une consultation, notamment avec les collectivités locales», et François Fillon, affirmant que «la priorité du gouvernement est de réduire la consommation des drogues, non de l’accompagner voire de l’organiser».
Entre-temps, un rapport de l’Inserm a conforté les tenants d’une expérimentation. Et certaines villes se sont déjà portées ...
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