La ville de Bruxelles a fait appel à la filiale belge d’Ansys, éditeur américain de logiciels spécialiste de simulation numérique, pour « apprivoiser les vents ».
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La Belgique, dont l’évolution est plus régionale que fédérale, a abandonné, au début des années 2000, l’un de ses plus grands espaces de pouvoir : la Cité administrative d’État (CAE). Un énorme site de 140 000 mètres carrés de bureaux au cœur de Bruxelles, longtemps vu comme un chef-d’œuvre d’architecture d’après-guerre, qui n’en a pas moins défiguré tout un quartier.
Propriétaire d’espaces vides, la ville de Bruxelles s’est donc lancée dans un « projet titanesque alliant habitations, bureaux, boutiques, parkings et une école », explique une note rédigée par les promoteurs du projet. Pour cela, la capitale belge a dû faire évaluer divers impacts, environnementaux, sociaux-économiques, sanitaires, sonores ou encore de mobilité.
C’est la filiale belge d’Ansys qui a été chargée ...