Marseille veut tourner le dos à la réputation de « ville sale ». Marseille Provence Métropole (MPM) a donc décidé de mettre un terme au fini-parti en recourant à un chronotachygraphe placé sur les bennes pour mesurer la distance réelle du trajet des véhicules.
Ma Gazette
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Élu en 2008 à la présidence de Marseille Provence Métropole (MPM), Eugène Caselli avait fait de la lutte contre la saleté des rues de Marseille une priorité. Mais, face aux résultats pour l’heure peu probants, ajoutés aux grèves des éboueurs qui ont défrayé la chronique sociale marseillaise, il a décidé de passer à la vitesse supérieure. Une commission paritaire composée de deux élus de la majorité et deux de l’opposition, a ainsi été mise en place pour l’élaboration d’un rapport sur la propreté de la ville. « La ville est constamment sale », assurent-ils de concert, en raison ...