Pourtant, « les ARS ont été très bien acceptées par les élus », assure le sénateur (UMP) Jean-Pierre Fourcade . Il est vrai que, face à ces nouveaux pouvoirs régionaux, les collectivités restent dans une phase d’observation.
En revanche, pour les départements, la délimitation des territoires de santé a parfois provoqué quelques tensions. Et pour cause : la loi « HPST » imposait aux directeurs généraux de solliciter les présidents de conseil général, ces territoires devant être « pertinents », notamment, pour les activités médico-sociales, un domaine de compétence partagé avec les départements. Or plusieurs avis – à l’instar de ceux des Deux-Sèvres ou de la Marne ...
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