« Je n’ai jamais proposé de rendre publique une liste des sectes. En revanche, il me paraît indispensable de constituer des dossiers de référence établis à partir des signalements dont nous sommes saisis, lesquels doivent intégrer les observations des mouvements incriminés dans le respect du principe du contradictoire », explique Georges Fenech, le président de la Miviludes. Ce référentiel, qui remplacerait la liste très controversée du rapport parlementaire de 1995, devrait permettre de répondre « de manière plus fiable et plus rapide aux questionnements des pouvoirs publics et des professionnels, magistrats, enquêteurs, élus…. ».
S’agissant du dossier spécial ...
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