«Le retour de l’islam en banlieue n’est-il pas corrélé à l’augmentation de la pauvreté qui favorise toujours la superstition, les jeux du hasard ?» s’interroge d’emblée Alexandre, éducateur spécialisé dans le Val-d’Oise, souhaitant garder l’anonymat, tant le traumatisme de la couverture médiatique des émeutes de 2005 est encore grand.
Avec ses collègues Fanny et John, qui travaillent dans d’autres communes emblématiques des révoltes, il veut souligner la cause sociale d’un phénomène qui reste tout relatif. Les jeunes de ces quartiers éternellement «difficiles» se disent musulmans non pratiquants, et sont surtout très sensibles à ...
[80% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Club Santé Social
VOUS N'êTES PAS ABONNé ?
Testez notre Offre Découverte Club Santé Social pendant 15 jours
J’en profiteThèmes abordés