Le chantier pilote à Calais (Pas-de-Calais), suivi par le bureau d’études Neo Eco, avec 30 % de sédiments dans le mélange réalisé pour la couche de forme.
Neo Eco
La filière de valorisation des sédiments issus du dragage se structure, trois ans après l’engagement des acteurs publics et privés faisant des Hauts-de-France un laboratoire. Béton, technique routière, aménagement paysager, des chantiers expérimentaux ont été lancés.
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L’essentiel
- Les sédiments de dragage des ports représentent 50 millions de m3 par an.
- Une ressource qualifiée de déchet quand elle arrive sur terre, mais qui a des caractéristiques minérales proches du sable ou de granulats.
- Elle peut donc être valorisée dans les travaux publics.
Transformer un déchet en ressource, c’est le graal du recyclage. Et quand le déchet en question représente 50 millions de mètres cubes – soit la quantité de sédiments extraite des ports français chaque année, plus 6 millions de m3 du réseau fluvial –, il s’agit à la fois d’économiser les ressources en matière ...
