communauté urbaine de Lyon
En matière d’identification des sols pollués, la Métropole de Lyon a une longueur d’avance, qui devrait se traduire dans les prochaines semaines par la mise en ligne publique de son inventaire historique urbain aux parcelles cadastrales, reprenant avec précision l’emplacement des sites pollués de la région.
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Tout commence dans les années 1995-2000 lorsque l’État, aidé du BRGM, lance le recensement des anciennes activités industrielles et artisanales, sur la base de ce qui a été déclaré classé depuis la création des archives préfectorales, autour de 1840.
Recensement des sols pollués
En 2004, la communauté urbaine de Lyon (Rhône) se saisit de la problématique « sols pollués », constatant qu’elle refait surface régulièrement.
Mais rapidement, la collectivité s’aperçoit que la maille de sélection des sites proposée par la base de données « Basias » du BRGM est trop lâche et ne répertorie que 680 sites dans le département du Rhône, sur les 13 000 comptabilisés par la collectivité.
« À l’époque, l’approche ‘‘sols pollués’’ ne se déclinait que dans les gros sites industriels. Or, quand nous avons commencé à mettre le nez dedans, nous nous ...