En investissant la tranche horaire du mercredi matin (et beaucoup plus rarement celle du samedi matin), les nouveaux rythmes scolaires sont venus marcher sur les platebandes des associations accueillant des enfants. « Nous nous adressons au même public, sans oublier que nous utilisons souvent les mêmes locaux », souligne Jean-Marc Jamier, responsable de secteur « vie éducative » centre et ouest à la ville de Nantes (291 600 hab.).
Pourtant, même si aucune évaluation nationale et officielle n’a été réalisée, il semble que les associations n’ont pas été affaiblies par cette petite révolution. Et que c’est bien grâce à leur collaboration que les communes ont pu relever le défi – certes, pas toujours avec la même ambition qualitative – de la mise en place d’activités concernant près de 7 millions d’écoliers.
La clé : l’adaptabilité
En puisant dans l’extrême diversité des ressources du tissu associatif, des communes sont ainsi parvenues à faire du sur-mesure.
« Dans des ...
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