NON Dans cette affaire, M. B, licencié de la Fédération française de kickboxing, muay thaï, avait fait l'objet d'un contrôle antidopage à l'occasion d'une manifestation sportive à Saint-Étienne.
Or, l'analyse effectuée avait fait ressortir la présence dans ses urines de différentes substances appartenant à la classe des cannabinoïdes ou des agents anabolisants. L'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) l'avait alors condamné à une interdiction de compétition de quatre ans, et à 2000 euros d'amende. Mais M. B avait alors intenté un recours devant le Conseil d'État. Il soutenait queles dispositions ...
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