Non
M. A., licencié de la Fédéra- tion française de rugby, a été contrôlé positif lors d’un contrôle antidopage à l’occasion d’un entraînement. L’analyse effectuée a fait ressortir la présence dans ses urines de probénécide à une concentration estimée à 0,2 nano- gramme par millilitre. Il a donc été interdit de manifestations sportives organisées par la Fédération française de rugby, pour une durée de deux ans. M. A. demande l’annulation de cette sanction devant le Conseil d’État au motif que la très faible quantité de substance détectée provient ...
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