Issu du monde des agences régionales du spectacle vivant, David Irle conseille les acteurs culturels locaux engagés dans la transition écologique. « Il n’y aura pas d’exception culturelle à ce sujet », clament à l’unisson les professionnels, responsables d’équipements, de festivals, d’associations ou des affaires culturelles des collectivités. Mais entre cette déclaration d’adhésion à la cause environnementale et sa concrétisation par des actes, il y a un long chemin semé d’embûches.
La sobriété écologique conduit-elle à restreindre l’offre culturelle ?
Disons-le d’emblée : le développement culturel doit continuer. La transition écologique ne doit pas ouvrir la porte à ceux qui voudraient réduire l’offre pour nous transformer en simples consommateurs ou en zombis. En revanche ...
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