Le 20 mars paraît le dernier volet du sixième rapport du Giec. Il s’agit de la synthèse de sept ans de compilation et d’évaluation des connaissances scientifiques mondiales sur le changement climatique. Promis, il ne fera pas plus de 30 pages, a assuré la paléoclimatologue Valérie Masson-Delmotte, l’une des chevilles ouvrières de ce travail monumental et bénévole.
Pourtant, peu d’élus se plongeront dans la lecture de cette synthèse. Au mieux liront-ils les dix pages du « résumé pour décideurs ». « Ces rapports sont denses, extrêmement précis et exigeants. Même pour les plus motivés des élus, cette lecture demande du temps et un certain bagage scientifique », souligne Aurélien Sebton, directeur général de Koncilio, un cabinet de communication et de formation sur les enjeux de ...
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Gazette des Communes, Club Techni.Cités
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