Le développement durable au service de la réduction des dépenses, voilà qui peut paraître contre-intuitif. Ces deux enjeux sont effectivement, en pratique, difficiles à concilier. Céline Faivre, directrice de mission au cabinet Sémaphores, estime même que « si le raisonnement était purement financier, les choses pourraient être simples. Il suffirait d’acheter au moins disant. C’est d’ailleurs la manière dont certaines organisations prennent le sujet en main. Mais cet enjeu d’optimisation est plus large. Il doit intégrer les questions de développement durable ».
L’ancienne directrice générale adjointe de la région Bretagne propose d’inverser la question. Au lieu de s’interroger sur la compatibilité entre l’intégration systématique de critères environnementaux et sociaux et la ...
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