Avec une rentrée plombée par la crise énergétique, les collectivités équipées d’un réseau de chaleur mesurent leur chance. Ce mode de chauffage urbain leur permet de s’appuyer sur des énergies renouvelables locales favorisant la stabilité tarifaire du service. C’est le cas du Smirec, le syndicat mixte des réseaux d’énergie calorifique, en Seine-Saint-Denis, qui possède le deuxième plus grand réseau francilien.
Créé à la fin des années 50 à Saint-Denis, il alimente 68 000 équivalents – logements sur six communes avec plus de 50 % d’énergie renouvelable (biogaz, géothermie et biomasse). Son exploitation est déléguée à Plaine commune énergie, filiale d’Engie, sur 70 kilomètres. C’est sur cette infrastructure ancienne qu’une initiative assez unique en France a été ...
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