Après le bus, le métro ou le tramway, un nouveau moyen de transport collectif se développe en France : le téléphérique urbain. Sans visées touristiques, comme à Grenoble, et les déboires techniques de celui de la rade de Brest construit par Bouygues espèrent les élus toulousains pour le leur. Objectif : transporter les habitants sur leurs trajets du quotidien et redonner vie au site d’AZF détruit par une explosion en 2001. Philippe Douste-Blazy, alors maire de Toulouse, avait décidé d’y installer un centre universitaire sur le cancer, l’Oncopôle.
Quinze télécabines
Le téléphérique permettant de relier l’Oncopôle au CHU et au campus de médecine s’est élancé mi-mai dans le ciel de la Ville rose. Il a accueilli 60 000 passagers le week-end de son inauguration. Quinze grosses télécabines ...
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