La plateforme est sobre, seul un petit texte d’introduction et deux boutons sont visibles, « faire un nouveau signalement » et « accéder à un signalement existant ». Inspiré d’outils déjà lancés par des homologues étrangers, l’outil mis en ligne le 6 septembre par la Cour des comptes a pourtant des objectifs élevés, rassemblés en une formule issue de la Constitution, rappelée par le président de l’institution, Pierre Moscovici : « La société a le droit de demander compte à tout agent public de son administration. »
La plateforme est ouverte à tous, que ce soit « les usagers des services publics, les agents publics et les associations citoyennes », comme le détaille le communiqué de la cour. Le signalement se fait « de manière simple et sécurisée », en passant par le site de l’institution ...
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Gazette des Communes