C’est un grand classique des congrès d’élus locaux et de cadres territoriaux. Lors de leurs universités d’été, le 7 juillet à Deauville, les membres de l’Association des directeurs généraux des communautés de France ont fait feu sur un Etat éparpillé façon puzzle, qui multiplie les injonctions paradoxales.
« On crée deux, trois agences par an. On est dans une forme de dilution de la responsabilité qui est mortifère pour nos territoires. Dans le domaine de la culture, l’avis de l’ABF (NDLR : Architecte bâtiment de France) n’est pas le même que celui des autres services de l’Etat. Pour ce qui est de la santé, c’est encore pire. Quand vous n’avez besoin de rien, vous n’êtes pas déçu… », fulmine le président de l’ADGCF, Yvonic Ramis.
Baisse des effectifs
A ses côtés, le préfet du Calvados ...
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Gazette des Communes
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