Le secteur de l’animation est en crise. Contrats précaires, temps partiels subis, manque de formation et de perspectives… Les maux qui frappent la filière ne datent pas d’hier, mais la pandémie a fait éclater le malaise au grand jour. « Avec la crise sanitaire, nous avons eu beaucoup d’absences. Les plus militants, qui ont tenu les écoles, sont fatigués », admet Emilie Kuchel, présidente du Réseau français des villes éducatrices et adjointe au maire (PS) de Brest (202 100 hab.), chargée de l’éducation.
Sa ville, comme tant d’autres, fait face à un turnover de plus en plus important, mais surtout à une pénurie de main-d’œuvre pour ses accueils collectifs de mineurs. « Nous manquons de personnel pour assurer l’accueil périscolaire de la cantine », confirme-t-elle.
Du côté des associations ...
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Gazette des Communes, Club Éducation et vie scolaire
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