Une étude prospective de la filière MICE (Meetings Incentives Conferences Exhibitions), à l’horizon 2025 (1), sur l’évolution et la transformation du secteur événementiel prévoit une « baisse globale du voyage d’affaires », tempérée par « un besoin de retisser des liens distendus par les confinements et le télétravail » qui conduit, comme elle l’avait anticipé et avec les effets de report, à « une surchauffe temporaire du secteur en 2022 ». L’étude MICE table sur une dégradation de l’économie des salons, avec « des formats plus courts, une diminution des surfaces louées et une concurrence accrue des destinations ».
Jazz et convivialité
L’étude pressent « une prépondérance de la qualité, justifiant l’événement physique, sur la quantité ». Les professionnels iront donc vers des ...
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Gazette des Communes
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Après la crise, le tourisme d'affaires se réinvente et les territoires jouent la carte d'un autre tourisme
Sommaire du dossier
- Après la crise, le tourisme d’affaires se réinvente
- L’évènementiel fait sa révolution
- Tourisme d’affaire : la responsabilité sociétale et la transition écologique s’invitent à la fête
- Tourisme d’affaires : « Il faut s’attendre à une baisse du volume des événements de forme classique »
- Les territoires jouent la carte d’un autre tourisme
- Activités durables, communication accrue, les leviers d’un renouveau du tourisme
- Clientèle, transports, hébergement… le secteur du tourisme en terre inconnue
- « Proposer des destinations touristiques dans l’espace rural est une option valable » – Rémy Knafou
Thèmes abordés