« Ce qui se dit entre les professionnels de notre réseau, c’est que le Contrat d’engagement jeune est un galop d’essai pour la réforme du Revenu de solidarité active. Si le CEJ fonctionne, s’il parvient à susciter une activité chez les jeunes, le RSA pourrait être réformé à son image », confie Philippe Brousse, délégué général adjoint de l’Union nationale des missions locales (UNML). Car la grosse différence entre le CEJ et la Garantie jeunes, qu’il a remplacée le 1er mars dernier, ce sont ces quinze à vingt heures d’activités hebdomadaires obligatoires, la contrepartie de l’allocation des 500 euros mensuels.
Un nouveau métier
Philippe Brousse poursuit : « Ces 15 à 20 heures d’activités par semaine, ce n’est pas rien. Cela suppose d’avoir en face un panel de propositions d’accompagnement ...
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