Chantier de fouilles preventives, Zac de Saint-Louis à Evreux
©Aurélien Papa-Département de l’Eure
Avec l’archéologie programmée et surtout préventive, les services d’archéologie territoriale se développent. Un métier technique et de relations, mais qui fait gagner du temps dans les projets, tout en y intégrant l’archéologie et l’architecture.
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Selon l’Association nationale pour l’archéologie de collectivité territoriale (Anact), 63 services de collectivités locales (1) font aujourd’hui de l’archéologie préventive. Habilités par l’État pour réaliser diagnostics et fouilles préalables à des aménagements (2), ils emploient 700 personnes dont une majorité d’archéologues territoriaux et même 900 à 1 000 en incluant les contrats à durée déterminée au gré des chantiers. Certains d’entre eux, ou d’autres services non habilités, font de l’archéologie programmée, c’est-à-dire des fouilles ...
